Le recyparc sera ouvert du mardi au vendredi de 10h00 à 18h00 et le samedi de 9h00 et 17h00
Grâce à votre contribution dans les bulles à vêtements, un total de 106.325 kilos de textiles a pu être collecté.
Ce tonnage a été traité de manière responsable et durable : 59.21% des vêtements ont été réutilisés, 25.03% des vêtements ont été recyclés en fibres et 15.76% ont été transformés en déchets.
Mais l’action de Terre ASBL ne se limite pas à la gestion responsable des déchets. En accueillant leurs bulles à vêtements sur notre territoire, nous soutenons également des causes essentielles :
Ensemble, continuons à agir pour un avenir plus durable, solidaire et responsable. Pour en savoir plus sur Terre ASBL et sur la façon dont vous pouvez contribuer, rendez-vous sur leur site internet www.terre.be.
Comment utiliser correctement les bulles à textiles ? Retrouvez toutes les informations sur https://www.seneffe.be
Même s’ils sont biodégradables, ils posent de nombreux problèmes s’ils sont jetés en bordure des cours d’eau :
Que faire de vos déchets verts ?
Les personnes qui déposent des déchets, qu’ils soient verts ou non, dans un cours d’eau, sur ses berges ou dans la nature s’exposent à des poursuites judiciaires et à des amendes pouvant aller jusqu’à 200.000 €.
Pour rappel, actuellement, seuls les déchets résiduels (sacs moka) et les déchets organiques (sacs verts) sont collectés. Toutes les collectes de PMC et de papiers-cartons sont annulées jusqu'à nouvel ordre. Les recyparcs sont fermés jusqu’à nouvel ordre.
Au cours de séances conviviales proposées gratuitement par HYGEA, les participants auront l’opportunité de découvrir, entre autres, la gestion écologique des déchets de la cuisine et du jardin y compris les techniques originales de prévention des déchets organiques ainsi que les bonnes conditions pour réussir son compost de qualité. L’atelier est accessible à tous, quel que soit le niveau de connaissance sur le compostage.
Bloquez votre agenda ! D’une durée de 2h30, elles sont organisées de 18h30 à 21h00, notamment le 28 septembre 2023 à Seneffe (Salle de la Rotonde du Centre de l'Eau, Rue du Canal 8).
De plus, HYGEA vous permettra (sous réserve de votre participation à l’une des formations) de vous équiper d'un fût à compost Milko accompagné de sa tige aératrice au prix de 16,88 €. Ce fût d’une contenance de 290 litres est conseillé pour les jardins de +/- 30 m². Il est composé de deux parties principales dissociables : un fond (de couleur noire) perforé afin perforé afin d’assurer une aération et un échange optimal avec le sol et le « corps » du fût muni d’un couvercle et d’une porte latérale. Une tige aératrice sera fournie avec le fût.
Inscription obligatoire pour l’atelier et le fût à composter sur le site internet www.hygea.be (Infos : 0800/11.799).
Les torchères de la société Total Petrochemicals Feluy sont dans nombre de conversations des Seneffois depuis leur existence et particulièrement ces derniers jours après une forte utilisation ayant conduit soit à des fumées noires, soit à un bruit intense… et elles devraient l’être encore au vu des gros travaux qui démarrent cette semaine. L’occasion de faire le point…
Arrêt des unités, utilisation des torchères dès ce 12 avril
Régulièrement (approximativement tous les 3 ans), les installations de la société Total Petrochemicals Feluy ont droit à un « gros » entretien avec arrêt des unités. Cette année, l’arrêt programmé pendant la seconde quinzaine d’avril est prévu pour procéder à des inspections légales, des interventions de maintenance planifiée mais aussi des travaux sur les torchères.
Pour assurer la sécurité, les travaux doivent être réalisés sur des installations vidées de leurs hydrocarbures. La torchère est utilisée lors de l'arrêt et du redémarrage des installations pour brûler les produits restants dans les canalisations. Dès lors, les torchères pourront fonctionner à partir de ce 12 avril 2021 pendant environ une semaine et lors des démarrages successifs des installations prévus à partir du 26 avril 2021.
La société est consciente des désagréments subis par les riverains et met tout en œuvre pour réduire les inconvénients dus à cette situation, que ce soit les fumées noires ou les nuisances sonores. C’est un équilibre difficile à trouver entre les deux. En effet, la combustion à la torche produit des suies. De la vapeur d’eau est injectée pour optimiser la combustion et limiter les fumées noires. Malheureusement, l’injection de vapeur est source de bruit, parfois très important.
Une bonne nouvelle… Les travaux qui vont commencer visent la réalisation de plusieurs projets d’innovation et de renforcement de la sécurité de deux grandes unités de production de l’usine. Parmi eux, des innovations qui vont permettre de diminuer les nuisances liées à l’utilisation des torchères.
Quid de l’utilisation régulière ces dernières semaines ?
Les torchères de Total Petrochemicals Feluy, très visibles puisque ce sont 2 longs tuyaux verticaux de 135 mètres situés côte à côte, sont des torchères « Process ». Ces torchères fonctionnent souvent. En effet, elles sont utilisées pour assurer la combustion d’éléments gazeux déchargés de leurs installations, soit en cas de fluctuations de procédés, soit en cas de maintenance planifiée, soit en cas de défaillance mécanique ou instrumentale ponctuelle, soit enfin en cas de situation d’urgence.
Fin mars et début avril, la société Total Petrochemicals Feluy a, pendant plusieurs jours, occasionné de nombreuses nuisances pour le voisinage. L’une des raisons est le bouchage d’un filtre qui a provoqué l’utilisation fréquente de la torchère, défaillance qui a finalement conduit à l’arrêt de l’installation polypropylène 2 (PP2) puis le redémarrage, autant d’opérations qui nécessitent le recours à la torche. En parallèle, des travaux sur l’unité de production de polyéthylène (PE) ont également imposé de brûler des gaz à l’autre torchère.
La Commune de Seneffe déplore cette succession de nuisances importantes et regrette que la société ait tardé à communiquer comme il se doit et a, une nouvelle fois, réagi auprès des responsables à la fois afin que les nuisances soient réellement limitées et que la communication soit assurée vers nos services dans les meilleurs délais afin de la répercuter sur www.seneffe.be/zonings. Des contacts ont également été pris avec le Département de la Police et des Contrôles du Service Public de Wallonie afin de vérifier qu’il disposait bien de l’information et de diligenter une enquête.
Quid de la pollution et de la santé ?
Les gaz envoyés à la torchère sont essentiellement composés d’hydrocarbures légers et d’azote.
En 2015, le Collège communal de Seneffe a sollicité les services régionaux afin de s’assurer du strict respect des conditions imposées quant à l’utilisation des torchères et de l’absence de risque pour l’environnement et la santé des citoyens.
Après examen approfondi, le Département de la Police et des Contrôles du Service Public de Wallonie nous a précisé que la société respectait bien les dispositions qui lui étaient imposées. L’AWAC (Agence Wallonne de l’Air et du Climat) a, quant à elle, effectué une étude spécifique en collaboration avec la Faculté Polytechnique de Mons afin d’identifier le danger réel en termes de santé publique. Le polluant le plus problématique pour les torchères est le Black carbon. L’AWAC est arrivée à la conclusion que quel que soit le scénario envisagé, la dispersion des polluants est bien en dessous de la valeur préconisée par l’OMS.
Suite à la vidange du bief, pour des raisons de sécurité publique et dans l’intérêt des populations de poissons et d’écrevisses, la pêche sera interdite sur le bief 21 de l’ancien canal Charleroi Bruxelles (de l’écluse 21 à l’écluse 22) jusqu’au 13 mars 2025.
Par grand froid, offrez-leur un festin de roi
Par les grands froids que nous connaissons, il est bien utile de venir en aide aux oiseaux de nos jardins.
Placez des boules de matières grasses garnies d’arachides dans vos arbustes… elles attirent les mésanges, sittelles, merles. Vous pouvez également disposer des graines de tournesol, de froment, d’avoine sur le sol pour les pinsons, les verdiers…Des pommes ou des poires mûres coupées en deux feront le délice des merles et des grives… diversifiez la nourriture et les lieux de nourrissage ! Un dernier conseil placer vos mangeoires près de buissons où les oiseaux pourront s’abriter à la moindre alerte. Bien sûr, l’idéal reste de leur fournir une source de nourriture naturelle en plantant haies et arbustes indigènes qui donnent baies et fruits !
Dès que le thermomètre passe sous zéro, veillez à leur offrir de l’eau, surtout non salée, que vous changerez aussi souvent que nécessaire afin qu’elle ne gèle pas… en veillant à recouvrir l'abreuvoir d'un grillage (à mailles moyennes) pour éviter qu'ils ne se baignent et gèlent par la suite.
Plus d'infos sur https://www.natagora.be/faqs/comment-bien-nourrir-les-oiseaux
La chaleur et la sécheresse de cet été ont entrainé une pullulation d’insectes ravageurs des épicéas, les scolytes (« Ips typographe »). Seul l’épicéa y est sensible et les arbres attaqués meurent rapidement.
Pour tenter de juguler cette épidémie et de réduire ses conséquences économiques, il est indispensable d’évacuer les arbres atteints. En effet, chaque épicéa contaminé est susceptible de produire une génération de milliers d’individus qui s’attaqueront à plusieurs arbres voisins ou plus éloignés.
Il est important de rappeler que l’évacuation des épicéas scolytés est une obligation légale1. Les recommandations présentées dans ce communiqué ont pour but d’aider dans cette tâche les propriétaires forestiers privés concernés.
1.Il est indispensable d’identifier rapidement les épicéas attaqués par les scolytes, à savoir ceux quiprésentent un ou plusieurs des symptômes suivants:
•Trous de perforation sur l’écorce avec expulsion de sciure et éventuellement écoulement derésine
•Jaunissement / roussissement des aiguilles, ou perte brutale des aiguilles
•Décollement ou perte de fragments d’écorces
2.Les arbres présentant au moins un de ces symptômes doivent être évacués avant le 31 mars 2019.
3.Les épicéas morts avant le printemps 2018 et ayant perdu toute leur écorce ne sont plus considéréscomme contaminants. Leur évacuation n’est donc pas prioritaire.
4.Dans les parcelles concernées, toute coupe portant à la fois sur des arbres scolytés et des arbres sainsdoit être mûrement réfléchie. Il faut savoir que les arbres touchés perdent une part significative de leurvaleur commerciale. Des professionnels sont à la disposition des propriétaires pour les aider à prendreces décisions.
5.Les propriétaires concernés par des coupes d’épicéas scolytés sont invités à prendre contact soit :
•avec les experts forestiers : http://www.experts-forestiers.be/
•avec les techniciens forestiers indépendants, entrepreneurs de travaux forestiers etexploitants forestiers : www.entreprisesforestieres.be et www.confederationbois.be.
•avec la Cellule d’Appui à la Petite Forêt Privée, qui coordonne des travaux groupésd’exploitation d’arbres scolytés dans certaines régions : www.capfp.be
6.Avant de procéder à une coupe, il est conseillé de prendre des photos et de rassembler toutes les autrespièces décrivant les lots de bois concernés.
7.Des informations techniques ou juridiques sur les arbres scolytés peuvent aussi être obtenues auprèsdes structures d'accompagnement de la forêt privée :
•NTF (Nature, Terres et Forêts)
Association représentative des propriétaires ruraux de Wallonie
www.ntf.be – info@ntf.be
•SRFB (Société Royale Forestière De Belgique)
Association d’information et de formation pour les propriétaires forestiers privés
www.srfb.be – info@srfb-kbbm.be
•CAPFP (Cellule d'Appui à la Petite Forêt Privée)
Service d’accompagnement pour les petites forêts privées de moins de 5 hectares
www.capfp.be – info@capfp.be
8.Vu l'ampleur du phénomène, une vigilance particulière devra être consacrée aux foyers de scolytés auprintemps 2019 pour mieux contrôler l'apparition éventuelle de nouveaux cas. Cette recommandationreste de mise même après l’évacuation des bois scolytés cet hiver.
Vous retrouverez également une note technique rédigée par l'Observatoire Wallon de la Santé des Forêts résumant les bonnes pratiques pour gérer au mieux ce ravageur à l’adresse suivante : http://owsf.environnement.wallonie.be
L’Office Economique Wallon du bois
Coordinateur de la Cellule de Crise « Scolytes de l’épicéa »
1 Article 62 de l’Arrêté Royal du 19 novembre 1987 relatif à la lutte contre les organismes nuisibles aux végétaux et aux produits végétaux.
Du miscanthus pour éviter les inondations à Petit-Roeulx-Lez-Nivelles
Ce 12 mai 2020, a eu lieu la première plantation de miscanthus sur le village de Petit-Roeulx-Lez-Nivelles dans le cadre d’une collaboration entre la Commune de Seneffe et un agriculteur, chacun engagé dans la lutte contre les inondations et les coulées boueuses.
L’an dernier, une fascine de paille avait déjà été implantée sur cette parcelle. Pas moins de 50 ares de miscanthus ont été plantés, formant une bande d’environ 12 mètres sur 400 à l’arrière des habitations de la rue du Marais et de la rue de Luxensart à Petit-Roeulx-Lez-Nivelles. Le miscanthus permettra de ralentir les écoulements d’eaux et de filtrer la boue.
Le miscanthus est une graminée qui ne manque pas d’atouts ! Alliée précieuse pour lutter contre les inondations, c’est aussi un combustible 100% renouvelable, un refuge pour une faune diversifiée, un tampon entre les terres agricoles et les riverains… 50 ares de miscanthus, une fois récoltés, correspondent à l’équivalent de 4.000 litres de mazout s’ils sont valorisés dans des chaudières à biomasse, ce qui permet d’éviter l'émission annuelle de 12 tonnes de CO2. Le miscanthus pourra être récolté pendant une période allant jusqu'à 30 ans.
Cerise sur le gâteau, cette plante ne demande pas de fertilisation et très peu de traitements phytosanitaires, seul un désherbage les deux premières années est nécessaire.
Elle offre ainsi un habitat pour une faune diversifiée, favorable à la biodiversité.